Témoignage tout particulièrement instructif :

- j'ai toujours affecté mes dons à la station de mon lieu de navigation. Je suis conforté dans ce choix et poursuivrai en ce sens.

- j'ai bien noté l'importance de la sangle sous-cutale au vu de ces témoignages. Mes gilets auto qui n'en sont pas équipés vont être mis au rebut et seront obligatoirement remplacés.

- l'importance d'une VHF portable étanche (bien chargée). Elle viendra compléter ma VHF portable sensée résister à 30 mn sous 1 M.

Lord des portes ouvertes de la SNSM de Mèze, un sauveteur m avait dit en effet l'intérêt de préciser la station destinataire du don ... On sait mieux pourquoi maintenant !

Les larmes aux yeux, je reste sans voix sur le cul...!

Un lien vers les différentes auditions menées par le Sénat :

http://videos.senat.fr/video.1318097_5d9d0d6e85a2b.audition-pleniere-de-la-societe-nationale-du-sauvetage-en-mer-snsm

Je me souviens bien de ce triste épisode 🥺😤

Rien n’a changé... depuis 30 ans...

Rappellez-vous les malversations qu’il y avait eu dans les années 80 ou 90...

En tant que marin, professionnel comme plaisancier, je ne peux rester insensible à ces témoignages...
Il est effarant de voir une telle déconnexion entre "la tête" et le "terrain".

Je viens d'en parler avec un collègue, sur mon "bureau flottant", qui est lui-même patron dans une station SNSM.

Il me confirme que leurs frais sont exclusivement couverts par leurs propres fonds...
Ils viennent même de faire construire un SR sur leurs propres deniers, car Paris le leur refusait...

Alors, donnez.
Mais à votre station, aux personnes courageuses qui se lèveront en pleine nuit et risqueront leur vie pour venir vous chercher le jour où vous ne pourrez compter plus que sur eux...

Je rajouterais Claude, affligeant et d'une bassesse sans nom envers leur propre personnel 

Et pourtant j'ai cru comprendre qu'il a été réélu récemment, le président !

Je viens de prendre au moins 3 heures de mon temps pour écouter l'intégralité de cet enregistrement … que je qualifierai … d' EDIFIANT….

Merci Jean Luc

Je n'ai pas trouvé l'audition de la direction nationale, as tu cela JL

Merci jean Luc, je m'attelle au visionnage

Si tu n' as qu' UNE heure à consacrer, concentre toi sur l'audition des sauveteurs des Sables d' Olonne ; Cliquer  I C I

https://www.facebook.com/senat.fr/videos/471681770100416/

En revanche , si on veut en savoir plus, et écouter l'intervention du Président de la SNSM et des "gens du siège", il faudra y consacrer plus de 2 h ...  

Mais je vous invite VRAIMENT à visionner cette audition ( vous pourrez le faire en plusieurs fois cliquer  I C I

http://videos.senat.fr/video.1318097_5d9d0d6e85a2b.audition-pleniere-de-la-societe-nationale-du-sauvetage-en-mer-snsm?timecode=4033810


Merci à jean Luc de nous avoir donné le lien de la retranscription de ces auditions

http://www.senat.fr/compte-rendu-commissions/20191007/mi_sauvetage.html#toc2

Vous pourrez ainsi sans doute télécharger le texte  et le lire selon vos disponibilités…  en plus de juger
de la qualité des réponses apportées
si TOUTES les réponses ont été apportées aux questions émises …

Je me garderai d'avoir un avis sur des sujets qui semblent soulever les polémiques au sein même de la SNSM.

Ce qui est certain, c'est que l'Etat s'est bien désengagé du financement d'une mission de service public au point de mettre en péril le fonctionnement de la SNSM. D'apprendre que les bateaux ont une trentaine d'année et qu'il faut les changer montre d'une part que le fonctionnement de la SNSM n'a pas été fameux malgré les subventions désormais réduites, et d'autre part que l'Etat n'a pas contrôlé l'utilisation des fonds public - mais est-ce une surprise ?
Dans ce contexte, la rationalisation des moyens de secours devient un moyen de réduire des coûts. Visiblement, il n'est pas bien compris et sans doute qu'il n'est pas optimal : c'est clair que si la station d'Hendaye se voit facturer le convoyage jusque St-Malo pour l'entretien, il y a une "rupture d'égalité" avec la station de St-Malo.

Comme pour toute transformation, la concertation avec les parties prenantes est essentiel. Au travers des témoignages de la MCI on peut comprendre que ce n'est pas le fort de la gouvernance actuelle. Sans doute l'héritage du passé (passif?) technocratique de Gorce, illustré de manière anecdotique par l'épisode des funérailles, qui le voit s'inquiéter davantage du selfie avec le 'PR' que du chagrin des veuves... Qu'il se rassure, malheureusement il n'est pas le seul haut fonctionnaire à préférer le veau d'or de la République.

pas simple !


Ce qui me réjouit, c'est de voir le poids important des associations de plaisanciers dans le paysage politique. On sent qu'on est armé pour éviter les taxes qui pourraient nous tomber dessus... (c'est bien sûr du second degré)

Petite pépite : quand Lyon Caen évoque le contrôle qualité des bateaux de son ancien groupe... (c'est aussi du second degré)